Une nouvelle collaboration se pointe.
Un client veut un service qu’on n’offre pas… mais qu’on pourrait peut-être faire.
Une idée brillante de produit surgit, même si elle n’a rien à voir avec notre plan d’affaires.
On appelle ça des opportunités.
Nous, on appelle ça des distractions stratégiques.
Grandir, c’est pas tout prendre.
C’est choisir.
Et surtout : renoncer.
Chaque « oui » qu’on dit à quelque chose qui nous éloigne de notre mission,
c’est un « non » silencieux à ce qui compte vraiment.
Et ça, c’est un problème de stratégie, pas juste de gestion du temps.
Selon un article du Harvard Business Review, les leaders les plus efficaces sont ceux qui ont le courage de dire non plus souvent — parce qu’ils comprennent que chaque décision consomme une part de leur capital stratégique.
Vous voulez avancer ? Il va falloir apprendre à dire non :
- Non à ce client payant, mais énergivore.
- Non à ce projet excitant, mais pas aligné.
- Non à l’idée de vouloir plaire à tout le monde.
Faire le tri, c’est pas être difficile.
C’est être rigoureux.
Une entreprise forte, c’est pas une entreprise qui fait tout.
C’est une entreprise qui sait exactement :
- pourquoi elle fait ce qu’elle fait,
- pour qui,
- et où elle s’en va.
Et ça demande du guts. Parce que dire non, c’est souvent aller à contre-courant.
Mais c’est aussi ce qui permet de construire quelque chose de cohérent… et de rentable.
Moins d’éparpillement. Plus de direction.
C’est ça, bâtir une stratégie d’affaires qui tient debout.